En mission du 2 au 6 décembre 2012 à Kaboul (Afghanistan), Alain Garay réalise une action de coopération technique dans un pays fascinant confronté aux défis de la transition après 30 ans de guerre.
Sud Ouest – Dans le chaos de Kaboul, l’espoir d’un changement
Kaboul espère la réparation de son réseau urbain et sa stabilisation politique.
Medical Risk Legal Management
Alain Garay enregistre on-line du 9 au 11 février 2012 à Madrid (Espagne) son cours post-universitaire « Résolution de conflits dans la pratique médicale-Medical Risk Legal Management » dans le cadre du Master international de droit médical (CTO Business Excellence School, Madrid)
« Gestión jurídica del riesgo médico (Medical Risk Legal Management) », tel est le titre de l’ouvrage destiné aux professionnels de la médecine publié à Madrid en février 2013 en langue espagnole par Alain Garay (www.grupocto.es). L’ouvrage « Gestion juridique du risque médical (Medical Risk Legal Management) » a été publié à Paris en langue française au mois de juillet 2013 par l’éditeur Berger Levrault (Collection Les Indispensables).
Reportage diffusé sur France 3 (janvier 2012)
Me Garay obtient le 13 janvier 2012 l’hospitalisation de Manil, ce bébé algérien de 8 mois atteint d’une maladie orpheline le privant de ses défenses immunitaires…
Succès devant la Cour européenne des droits de l’homme des propriétaires de biens occupés en Corse, représentés par Me Garay (21 janvier 2010)
« Inaction des autorités françaises dans l’exécution de mesures d’expulsion relatives à des terrains occupés par des nationalistes corses », tel est le titre du Communiqué de presse de la Cour européenne des droits de l’homme (Arrêt n° 1, arrêt n° 2, arrêt n° 3) relatif aux trois arrêts rendus jeudi 21 janvier 2010 contre la France.
Ces arrêts européens constituent une juste sanction contre l’inaction des autorités publiques dans l’exécution de mesures d’expulsion relatives à des terrains occupés par des nationalistes corses.
Les autorités publiques se font-elles, de la sorte, « complices » du statu quo qui profite encore aux occupants sans titre… jadis pourtant condamnés à des mesures d’expulsion ? La Cour européenne accuse « l’inefficacité du système d’exécution des décisions de justice en Corse, qui renvoie au risque de dérive d’aboutir à une forme de ‘justice privée' ». L’occupant sans titre continue en effet d’invoquer le droit au sol, exclusif, des « Corses » (voir l’article de Corse Matin du 22 janvier 2010 intitulé Trois rapatriés d’Afrique du Nord font reconnaître l’occupation de leurs terres).
En Corse, pour rendre justice, chacun peut-il choisir son arbre, comme jadis Saint Louis, au nom de la rhétorique politique, « la Corse aux Corses »… hier « pedi neri fora ! », aujourd’hui « arabi fora ! » ? Qui paie cette injustice publique sur fond de justice privée ? L’Etat sous forme d’indemnisation : une première procédure d’indemnisation en avril 2009, 989 310 euros pour une des trois familles requérantes et, aujourd’hui, plus de 110 000 euros de condamnation prononcée par la Cour européenne.
Alors que les occupations se poursuivent, la France, selon la Cour européenne, « se contente, d’une façon générale et non suffisamment circonstanciée, de faire référence aux nécessités de l’ordre public et à un risque d’affrontements armés », selon le discours convenu d’une « Corse poudrière », d’une Corse supposée condamnée à subir le poids des armes, discours que la Cour européenne ne semble pas admettre. D’une certaine façon, la Cour européenne rend donc justice aux trois familles de requérants et aux Corses, victimes d’un ordre public dévoyé au nom d’une certaine vision contraire à l’Etat de droit.
Sud Ouest – La mise en cause populiste des droits fondamentaux
La récente votation helvétique sur la construction de nouveaux minarets suscite une interrogation majeure sur la nature et les effets du vote populaire ainsi exprimé. Le vote populaire, selon cette forme démocratique, peut conduire à valider une position contraire aux engagements des constituants, sur le plan national, et des États, en matière de protection internationale des droits fondamentaux.
La Dépêche du Midi – L’état Algérien doit nous indemniser
L’Algérie n’a pas appliqué les accords d’Evian qui prévoyaient qu’aucune mesure de dépossession ne serait prise sans l’octroi d’une indemnisation
La Nouvelle République des Pyrénées – Les spoliés demandent justice
Les rapatriés spoliés d’Algérie ne veulent pas être » encore une fois sacrifiés » par le Traité d’amitié entre la France et l’Algérie, actuellement en préparation, comme ils l’ont été par le passé un certain 18 mars 1962 à Evian.
Sud Ouest – Rapatriés d’Algérie, ils réclament réparation
L’avocat Me Alain Garay lance des procédures devant l’ONU pour faire indemniser les pieds-noirs » spoliés » par l’Etat algérien.
Le Monde – La république des rapporteurs
La critique de l’opportunité de ces rapports ou tout simplement de leur volume équivaut pour celui qui ose s’y livrer, à un déni d’intelligence et de rationalité.